jeudi 3 juin 2010

Quand la marine française surveillait les côtes de Gaza

La frégate porte-hélicoptères "Germinal" à l'entrée du rail d'Ouessant, le 1er mai 2003.
AFP/PASCAL GHIGOU

Le Monde
La frégate porte-hélicoptères "Germinal" à l'entrée du rail d'Ouessant, le 1er mai 2003.

La France "n'a jamais approuvé ni l'intrusion de l'armée israélienne dans Gaza ni le blocus". Pour Bernard Kouchner, ministre des affaires étrangères, la position française sur le sujet est sans ambiguïté, comme il l'a rappelé, mercredi 2 juin, au micro de RTL. Pourtant, à l'issue de la guerre de Gaza, en janvier 2009, une frégate française, le Germinal, a bel et bien pris part aux opérations de surveillance israélienne des côtes gazaouies.

Propagatio In Urbe

Les rafles en 2010


Libération

De source policière, l’évacuation s’est passée relativement dans le calme et il n’y a pas eu d’interpellation.

En revanche, selon Jean-Hubert Guidou, un délégué CGT qui soutient le mouvement des sans papiers, la police a procédé à une «trentaine d’interpellations», au cours de l’opération.

Un journaliste de l’AFP présent sur les lieux a constaté peu après 08H00 que les marches de l’Opéra Bastille étaient complètement vidées, seules restaient des dizaines de couvertures, sacs de couchage éparpillés, tandis qu’un groupe de gendarmes mobiles courait derrière un groupe de sans papiers dans une rue adjacente.

Selon Amidou, 42 ans, commerçant ambulant place de la Bastille, «les policiers sont arrivés par la place de la Bastille, puis par le haut des marches, ils ont répandu du gaz lacrymogène et ensuite, ils ont procédé à des interpellations». Selon lui, il y a eu des blessés légers au cours de l’opération.


Le fascisme, c'est la gangrène à Tel-Aviv comme à Paris.

mardi 1 juin 2010

Halte à l'impunité!


Monde Diplomatique

La seule question qui se pose maintenant est de savoir quel prix le gouvernement israélien devra payer pour ce crime. Car, depuis des années, les Nations unies ont adopté des dizaines de résolutions (« Résolutions de l’ONU non respectées par Israël », Le Monde diplomatique, février 2009), l’Union européenne a voté d’innombrables textes qui demandent à Israël de se conformer au droit international, ou tout simplement au droit humanitaire, en levant, par exemple, le blocus de Gaza. Ces textes ne sont jamais suivis du moindre effet. Au contraire, l’Union européenne et les Etats-Unis récompensent Israël.