lundi 22 septembre 2008
Val fait pipi à la culotte
Rencontre Val-BHL chez Chancel à la neuvième minute. Je n'ai lu ni "Le référendum des lâches" de Ph. V., ni quoique ce soit de Jürgen Habermas. Cependant le rapprochement entre quoique Val aie pu écrire et quoiqu'un philosophe (Allemand qui plus est!) et sociologue aussi réputé que Habermas (tellement réputé que je le prenais pour un contemporain de Kant ou Hegel!) aie pu écrire, en dit long sur les qualités de philosophe de l'entarté national. Du pur plaisir carlésien cette vidéo!
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Jez
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11:58
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Libellés : BHL, Jürgen Habermas, Philippe Val, Pierre Carles
lundi 15 septembre 2008
Lu dans la presse
En bref Israël. le chef en exil du Hamas, Khaled Mechaal, a affirmé samedi soir que son mouvement souhaitait qu'un accord intervienne le "plus rapidement possible" pour la libération de prisonniers palestiniens en échange du soldat israélien Gilad Shalit. Celui-ci est détenu à Gaza depuis plus de deux ans.
A en croire Metro, les prisonniers palestiniens sont sans noms. Pas plus le franco-palestinien abandonné par Sarkozy Salah Hamouri que Obaidah A. ni quelconque autre prisonnier palestinien qu'il aie du 'sang sur les mains' ou non. Seul le soldat-prisonnier Shalit a un nom.
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Jez
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10:33
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Libellés : France, Gilad Shalit, hamas, Israël, medias, Obaidah A., Palestine, Palestiniens, Salah Hamouri
Un Fait Divers
C’est arrivé dans un quartier banal, d’une ville banale, un matin de septembre. Vous en avez peut-être entendu parler. Furtivement. Le sujet est passé, comme tant d’autres, par la case « faits divers ». Mardi 2 septembre, à Istres (13), Morgane S., mère de trois enfants, s’est jetée du balcon de son appartement, au quatrième étage. Elle est décédée trente minutes après le choc. Chez elle, il y avait ses deux plus jeunes enfants, âgés de 4 ans et dix-huit mois. Il y avait aussi un huissier, un policier, un serrurier et un déménageur, venus pour l’expulser. Cela faisait 22 mois qu’elle et son mari n’avaient pas payé leur loyer. Pour une dette totale d’environ 10 000 euros. Le prix d’une vie.
(...)
D’après les services sociaux de la ville d’Istres, tout avait été fait pour tenter de négocier avec Morgane S., mais elle ne répondait plus. Elle s’était isolée, a confirmé son entourage. La solution, c’était donc de la jeter à la rue avec ses enfants, devant eux, forces de l’ordre en renfort ? À un problème de civilisation, on donne une réponse technique : « ne venait plus au rendez-vous ».
Publié par
Jez
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10:14
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Libellés : medias, pauvreté, solidarité
jeudi 11 septembre 2008
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